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Clown et impro : quand la comédie s'invite dans les hôpitaux
La clown Zaza, alias Pernette.
La clown Zaza, alias Pernette.

Le clown et l’improvisation théâtrale font souvent bon ménage, mais n’en déplaise à l’imaginaire collectif, si ce sont des disciplines bien distinctes, elles sont aussi très complémentaires.

Tout d’abord, le théâtre (et plus particulièrement le théâtre d’improvisation) place “l’incertain” au centre de son jeu : on ne connaît pas l’histoire ni son impact sur les spectateurs et ça, c’est une particularité qu’il partage avec le clown.

De plus, les deux disciplines s'apprennent : on ne passe pas par la case “Impro” ou “Clown” sans en maîtriser au préalable les codes et rudiments. Il existe d’ailleurs différentes écoles pour pouvoir se former à l’art du clown : le cours Citron à Nantes, l’école Le Samovar, l’école Philippe Gaulier, l’association LeRireMedecin… sont quelques-unes des structures qui ont pu voir le jour grâce à la démocratisation de la pratique, qui depuis des décennies maintenant prend plusieurs formes et se développe au-delà de l’univers du cirque.

Aujourd’hui, le clown rejoint le théâtre d’impro’ sur des plateaux télés, dans des scènes de one-man-show ou encore dans les écoles, les EPHAD et hôpitaux. Le personnage et toute sa discipline semblent être devenus un excellent médium de partage et d'interaction sociale pouvant accompagner, soutenir, transmettre des messages et servir les valeurs du spectacle “vivant”.

À l’heure de la COVID 19, le passage d’artistes clowns dans les hôpitaux prend tout son sens. Avec un secteur culturel frappé de plein fouet par les mesures et restrictions sanitaires et des chambres d'hôpital qui ne désemplissent pas de personnes en séjour longue-durée, nous n’avons jamais eu autant besoin de sou(rire)s à la vie.

Le public, les familles et le personnel hospitalier prennent conscience de l’impact des clowns sur le mental et le moral des patients dont le séjour s’égaille après le passage dans leur chambre des artistes au nez rouge.

Malheureusement, pendant la pandémie, les clowns ont perdu leur droit d’intervenir en présentiel dans les structures médicales : se poster en dessous des fenêtres, jouer en télétravail sont autant d’alternatives qui ont permis de s’adapter face au contexte incertain en place. Cependant, cette adaptation n’a pas permis aux artistes d’exercer pleinement leur art qui nécessite de voir l'environnement, de palper l’état émotionnel du patient pour pouvoir s’y adapter au mieux... d’être là, tout simplement.

Sur l’Île de la Réunion, les artistes clowns ont eu un peu plus de chance. Avec une pandémie qui frappe moins durement le territoire, les acteurs de la culture et du spectacle vivant ont pu / su s’adapter aux mesures du gouvernement pour continuer de jouer. Nous avons eu la chance de rencontrer la comédienne Zaza, spécialiste de l’improvisation théâtrale et du clown qui évolue au sein de l’association Eclats de l’île. Chaque semaine, les 5 clowns de l’association aident les enfants et leur famille à faire face à la maladie et à l’hospitalisation. Avec des spectacles « sur-mesure », ces clowns-docteurs offrent de véritables “soins de vie” aux patients, accompagnants et équipes soignantes.

Tête à tête avec Zaza, qui nous racontent avec ses mots la réalité d’une pratique devenue essentielle.

[Pétronille] Bonjour Zaza ! D’abord on a envie de te demander : comment ça va ?

[Zaza] Et bien ça va très bien ! Bon on est un peu coincés par les restrictions sanitaires donc c’est pas évident... Et en même temps, ce sont des moments de création personnelle : on se recentre, on essaie de trouver des nouvelles idées. Donc ça va bien oui !

[Pétronille] Bon, bonne nouvelle ! Et est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur toi ?

[Zaza] Ok ! Et bien je suis Zaza, j’ai 50 ans, 2 enfants, j’habite à la Réunion depuis une vingtaine d’années et je suis intermittente du spectacle depuis 5 ans. Je fais du théâtre depuis… toujours en fait, mais c’était en amateur et pour le plaisir ! Je suis infirmière au départ et puis je suis arrivée à un moment dans ma vie où personnellement et humainement parlant, être infirmière c’était plus trop ça. Et c’est là que je me dis “vaut mieux être une mauvaise comédienne qu’une mauvaise infirmière, ça tue moins de gens”. Donc je me suis réorientée vers ce qui me plait depuis le début de ma vie et que mes parents n’avaient pas encouragé : être comédienne. L’univers a ponctué mon chemin de rencontres artistiques et de bonnes nouvelles : en 2004 je démarre le théâtre d’improvisation avec la LIR. Je deviens clown à l'hôpital en 2012, 3 mois après mon bilan de compétences et en passant des auditions au sein d'Éclats de l’Île. J’ai été prise, sans avoir trop jamais fait de clown avant ! Je me suis quand même formée dans la foulée en faisant des stages en interne à l’école du Samovar. J’ai réussi à faire le pont entre mon travail d’infirmière que j’ai beaucoup aimé et le clown.

[Pétronille] Super !  Et donc en clown l’improvisation est importante ?

[Zaza] Effectivement on fait énormément d’improvisation : on a des gimmicks, des chansons, des tours de magie, des systèmes de jeu (un clown suit l’autre, un clown se plante, 2 clowns se rentrent dedans…). C’est des techniques de clown, mais la plupart du temps quand on rentre dans la chambre, il y a toujours un petit espace temps de flottement : que va-t'il se passer ? C’est quoi l’énergie dans la chambre ? Qui est l’enfant ? Tiens, les parents sont là, les soignants aussi, il fait noir, la luminosité est belle, tiens il y a déjà de la musique…

[Pétronille] En fait l’environnement devient un vrai partenaire de jeu ?

[Zaza] Complètement.

[Pétronille] Vous intervenez auprès d’enfants uniquement ?

[Zaza] Oui, l’association Éclats de l’Île intervient auprès des enfants hospitalisés. Mais depuis septembre avec l’association Carton Mécanique, on a monté le projet “Tranche Papaye” où nous allons en EHPAD à Mont-Rochefeuille à Saint-Gilles une fois par semaine. Pour le passage dans les hôpitaux auprès des enfants, il y a eu une période de creux de février à juin 2020 à cause de la pandémie. C’était une période de grand vide pour nous, et pour l'hôpital aussi. Mais le truc génial c’est qu’à notre retour, tout le monde était, mais tellement content de nous revoir ! Et nous-même on s’est aperçu que notre boulot est efficace, qu’il ne sert pas qu’aux enfants mais aussi au service hospitalier.

[Pétronille] Et donc, à quoi il sert le clown ?

[Zaza] Le clown, il sert déjà à oublier qu’on est à l'hôpital, à faire oublier qu’on est obligé de suivre le rythme de l'hôpital avec les consultations, les soins, le planning journalier des repas, des prises de température… Le clown vient bousculer tout ça, il débarque dans la chambre qui d’un coup n’est plus une chambre d'hôpital, l’enfant n’est plus un enfant malade. On devient chanteur, magicien et parfois les parents aussi deviennent comme ça (claque des doigts) des partenaires.

[Pétronille] Vous avez déjà été timidement reçus ?

[Zaza] Ah oui oui oui, plus d’une fois d’ailleurs ! Le personnage du clown malheureusement depuis des années à cause du film “Ça” de Stephen King notamment, fait peur. Il y a aussi des gens qui ont naturellement une phobie du clown. Donc presque une fois par semaine on sent qu’il ne faut pas rentrer dans la chambre, ou rentrer tout doucement, ou il faut qu’on reste à la porte, ou qu’on ferme la porte et qu’on joue par la fenêtre. Et c’est vrai que les enfants ont conscience du fait que la dernière fois que quelqu’un est rentré dans leur chambre, c’était pour leur faire une piqûre par exemple ! Donc ils se demandent qui est cette personne qui rentre cette fois-ci ? Le nez, ma robe verte, la musique… Ça peut être impressionnant. Donc on s’adapte.

[Pétronille] Adaptation, improvisation, clown : tout ça c’est un joyeux mélange au final dans votre activité ?

[Zaza] Oui, tout est lié. On est en improvisation dès l’entrée dans les couloirs du service. Certains jours sont plus festifs que d'autres si il s’agit d’un jour férié par exemple ou l’ambiance est plus détendue. À l'inverse, il y a des jours où il y a des mauvaises nouvelles, et c’est tout le service qui en pâtit. Il faut ralentir le jeu, on ouvre les portes de la sensibilité et on laisse entrer plus de douceurs.

[Pétronille] À quel degré tu dirais que l’improvisation fait partie intégrante de vos actions ?

[Zaza] Je dirais 80%

[Pétronille] Comment ça se nourrit l’improvisation ?

[Zaza] Ça se nourrit à 20% de technique : la magie, la chanson, le jeu sur des accents… C’est aussi savoir physiquement où on peut aller, car on se connaît soi-même dans nos capacités. Mais c’est beaucoup l’écoute de l'environnement, le regard du parent : une maman qui sourit ou non, qui pleure même… C’est tellement tendre, ça fait tellement de bien. Tout ce qui se passe dans la chambre sont des indications d’adaptation de notre jeu en fait.

[Pétronille] Et tu continues d’apprendre, de t’entraîner, de te former ?

[Zaza] Oui bien sûr ! On se renouvelle en chanson par exemple. Les enfants ne sont pas toujours les mêmes sauf pour ceux qui ont des maladies chroniques par exemple, mais le personnel soignant est toujours composé des mêmes personnes et ils sont présents tous les mardis et jeudis quand on est là. Donc si on leur chante “Il en faut peu pour être heureux” 6 mois d’affilés, ils auront plus de raisons d’être heureux quoi ! (rires). La formation d’improvisation en clown est essentielle pour se renouveler. Ça passe par des exercices de ressentis, d’écoute de nous. 

[Pétronille] En clown, vous évoluez en binôme. Est ce qu’il y a besoin aussi de construire, développer la cohésion avec son partenaire pour pouvoir bien improviser ?

[Zaza] Effectivement on intervient toujours à 2. Déjà parce que c’est un ressort de jeu, et aussi car comme ça on ne met pas l’enfant en difficulté. Si je rentre seule dans la chambre, mon partenaire de jeu ça devient l’enfant. Moi je suis là pour lui, ce n’est pas à lui de me sauver si je suis en difficulté. Par contre si je suis en dualité avec mon partenaire, inconsciemment , il voudra faire un choix pour nous départager ou pour nous soutenir tous les deux. Il devient le maître du jeu mais jamais le partenaire unique. On suivra les choix de l’enfant pour qu’il soit un peu le vainqueur dans l’histoire. On pourra préparer des petits sketchs, mais on sera toujours dépendants des réactions de l’enfant.

[Pétronille] Est ce qu' au final ce n’est pas ça qui te plaît dans l’improvisation et le clown, c’est que chaque intervention est différente ?

[Zaza] Oui, moi c’est ça que je kiffe. Depuis le jour où j’ai découvert l’improvisation théâtrale, je me suis dit “c’est ça que je veux faire !”. Apprendre un texte, jouer une pièce, être comédienne j’adore aussi. Mais se jeter dans le vide, être perdue et savoir qu’on pourra rebondir, l’imprévu, être obligée de se poser face à soi aussi… D’ailleurs au début quand on improvise on a tendance à vouloir remplir l’espace, combler le silence. Mais on s’aperçoit vite que ce n'est pas une bonne idée ! Déjà pour le public en face, c’est trop d’informations. 

“Je ne sais plus quoi faire ? Super ! Voilà une vraie respiration, un moment d’observation qui me permet de prendre du recul”. Et ça nous nourrit en fait. Un certain philosophe disait “Il faut s’ennuyer car c’est dans l’ennui qu’on devient créatif”. En impro’ c’est pareil, c’est dans ces moments suspendus qu’il faut se poser pour aller puiser des ressources en nous-mêmes. Il y une certaine urgence en clown où on compte jusqu’à 3 maximum avant que ça soit trop tard ! Cette énergie c’est un élastique interne qui est toujours tendu qui faut camoufler pour qu’en surface rien ne transparaisse, qu’on ait l’air relax.

[Pétronille] Nos recherches nous ont fait comprendre que le clown est un perpétuel émerveillement. Est-ce qu’on peut dire que pour être clown il faut être émerveillé constamment dans la vie ? Ou est-ce que ça peut se simuler ?

[Zaza] Bah écoutes, fermons les yeux et quand on les ouvrira, on fera comme si on n'avait jamais vu l’océan qu’on a en face de nous. Tu vois ? C’est possible. Le clown découvre tout, tout est nouveau, tout est sujet à curiosité, tout est beau. Par contre, je pense plus que le clown peut nous servir dans nos vies, nos quotidiens. Rester dans cette approche au jour le jour permet de capter le clown plus facilement et rapidement. Et c’est une belle leçon de vie.

[Pétronille] Ce que ça nous évoque, c’est qu’être clown finalement c’est réveiller son âme d’enfant.

[Zaza] Mais complètement. La découverte, l’innocence, la curiosité. D’ailleurs on dit que le clown c’est le mariage d’un enfant émerveillé, d’un animal (pour son côté instinctif et sensoriel) et d’un fou (pour le côté sans limites, qui a sa propre morale). Le clown a le plus beau costume, la plus belle coiffure, il aime ce qu’il fait, il est le meilleur, il est le plus intelligent. Il va donc fixer sa propre limite. Il a 100% confiance en lui mais il peut vivre le doute. En fait, sur une échelle de 1 à 10 d’intensité, le clown il est à 10; alors que nous dans la vie de tous les jours, on oscille entre 3 et 4, voir 5, mais très rarement. Un clown est à 10 tout le temps et il n’a pas l’impression d’être un original, c’est simplement sa réalité. D’ailleurs il peut être à 10 de timidité aussi, d’être amoureux, d’avoir peur. Il a une grosse part de sensibilité en lui.

[Pétronille] Est-ce que ça peut être un défouloir ?

[Zaza] Oui ça doit se faire, le clown thérapeutique, mais c’est très psychologique à ce niveau-là. Je pense que quelqu’un d’humainement blessé, sans confiance en lui, toucher le clown ça lui permettrait de rouvrir la porte à ses émotions. Ouvrir la porte à une expressivité qu'on ne s'autorise pas dans la vie de tous les jours. Pour autant, pour être un bon clown, à l'hôpital notamment, où les limites du clown c’est les limites de l'hôpital, et bien une personne mal au quotidien ne pourrait pas être un bon clown dans cet environnement. À mon avis il faut déjà être à 5 ou 6 dans la vie de tous les jours.

[Pétronille] Il y a donc un certain contrôle dans la perte de contrôle ?

[Zaza] Voilà ! On appelle ça le “chef d’orchestre” ou la “conscience témoin”. Par exemple il y a Zaza qui est habillée en Pernette (mon personnage de clown) mais Zaza regarde toujours ce que fait Pernette, elle est toujours en présence de Pernette, de son partenaire, de la chambre, des soignants… Elle voit tout le monde, et laisse Pernette faire. Mais si Pernette part trop loin, Zaza la rattrape toujours au vol. Il y a un lâcher-prise mais le comédien garde le contrôle sur le clown.

[Pétronille] Ça t’est déjà arrivé de ne pas avoir su rattraper Pernette à temps ?

[Zaza] Oui. Et heureusement il y a le partenaire de jeu qui peut dire “Mais qu’est ce que vous dites Pernette ? Vous dites n’importe quoi là !” “Ah oui !” “Sortez de cette chambre” “Très bien !” et donc tu t’en vas et tu comprends ton erreur. Heureusement c’était pas trop grave. Je ne peux pas vous le raconter mais tout va bien, plus de peur que de mal !

[Pétronille] Les clowns savent-ils qui ils rencontrent avant d’entrer dans une chambre ?

[Zaza] Oui, on fait des transmissions avec les équipes avant d’entrer dans les chambres. Ce temps avec les soignants nous permet de savoir le prénom de l’enfant, son âge, si la famille est présente, comment ils vont et s' il y a une pathologie grave à connaître ou des mesures de sécurité à respecter. Parfois il y a des gros handicaps qui sont visibles ou non et qu’il est important de connaître.

[Pétronille] Le contact physique est-il important pour ton travail ?

[Zaza] Ça en fait partie mais j’évite, c’est personnel. J’ai l’impression de rentrer plus dans la bulle de l’intimité de la personne, et je ne sais pas si elle a vraiment besoin de ça. C’est un lien en plus qui rend difficile le détachement. Souvent je vais au contact des enfants qui ne voient pas bien ou n’entendent pas bien ou pour qui la sensibilité est altérée. Je pose une main, je dis bonjour, j’essaie d’éveiller ses 5 sens. On aide même parfois les infirmiers à évaluer le degré d’audition, d’attention visuelle des enfants. Donc improvisation et adaptation : deux notions indispensables !

[Pétronille] Est ce que tu as un conseil à donner aux personnes qui sont tentés d’apprendre l’improvisation et / ou le clown ?

[Zaza] Et bien : allez-y, foncez ! N’hésitez plus, c’est maintenant. N’ayez pas peur ! Il faut y aller. En fait l’improvisation, le clown, c’est comme une pâte à crêpe. Si on prend pas les oeufs, le bol, la farine, le lait pour tout mélanger, on ne saura jamais si on sait faire des crêpes ! Tes crêpes seront peut-être pas réussies à ta première pâte, il faudra sûrement en faire plusieurs avant qu’elles soient bonnes.

[Pétronille] … et même la première crêpe de la bonne pâte…

[Zaza] Elle est toujours ratée ! Et ta pâte n’est jamais pareille non plus… Donc il ne faut pas avoir peur. Il faut vraiment lâcher prise avec le cerveau, laisser la place à la sensibilité et au corps. J’ai mis beaucoup de temps à écouter mon corps. Et pourtant il nous parle tout le temps, à 100%. Nos postures racontent déjà plein de choses sur nous, tu vois ? Enfin bref allez-y ! Faites de l’improvisation ! Il faut essayer de convoquer un état d’autorisation, comme on peut l’avoir après un premier bouchon de rhum ! (rires) Il faut s’autoriser à être juste là, tel qu’on est tout de suite…

[Pétronille] … enfant, animal et fou !

[Zaza] (rires) oui exactement !

[Pétronille] Super, merci Zaza. Quel est le mot de la fin ?

[Zaza] Improviser on le fait tous les jours sans s’en apercevoir, comme cette interview ! N’hésitez pas à improviser dans vos vies, ça rend beau. Ça rend con, mais c’est bien la connerie.

[Pétronille] Merci beaucoup, à bientôt !

Retrouvez les clowns de l’association Éclats de l’île chaque mardi à l'hôpital de Saint-Denis et chaque jeudi au CHU de Saint-Pierre.

Information supplémentaire : l’association fera passer des auditions en 2022 pour recruter de nouveaux clowns en milieu hospitalier. Ces auditions seront suivies d'une formation obligatoire de trois semaines. La fiche de poste sera mise en ligne sur leur site internet et sur leur page Facebook dans les semaines à venir. 

Retrouvez Zaza le 18 et 19 juin à La Cité des Arts au soir pour voir Vertige et Dernier Hommage, 2 spectacles improvisés par la compagnie La Bagasse qui prennent part aux Nuits de l’impro”.

Enfin, pour faire un don à l’association, c’est par ici !

Crédits :

- Photos : Olivia Fourets

- Interview : Pétronille Marrast

BIBLIOGRAPHIE

 Qu'est-ce qu'un clown ? - par Fabrice Hadjadj (eglisejura.com)

https://www.youtube.com/watch?v=QxMT3mAvutY

Stage Impro & Clown - 4 jours - Le pouvoir de l'incertain - Cours Citron

Formations - Quelles formations pour être clown ? - La Grande Famille des Clowns

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Le Rire Médecin, des clowns pour les enfants à l’hôpital - Le Rire Médecin (leriremedecin.org)

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